26/12/2016

Bonne et heureuse année 2017 !


Le 1er de l’an peut changer de date, en fonction d’aléas plus ou moins politiques.

Il y a eu le calendrier révolutionnaire (prairial, fructidor, brumaire, ventôse …). Le premier de l’an a aussi été le 1er mars (d’où septembre (septième mois etc. (octobre -8-, novembre – 9- et décembre 10ème) et février, dernier mois, héritait des restes … qu’il a gardé.

La lutte de personnalité entre 2 empereurs nous amena cette curiosité de 2 mois à suivre en 31 jours (juillet- Julius et août - Auguste).

Quoi qu’il en soit, je tiens à conserver nos us et coutumes, comme Noël (adapté d’une origine païenne, la fête du solstice d’hiver, la St Jean étant la fête du solstice d’été), ou encore, le poisson d’avril et la fête des mères.

Je tiens à conserver nos coutumes, nos racines, nos bases, les seuls éléments fermes sur lesquels on peut s’appuyer pour construire un avenir de granit.

(Un auteur écrit : notre passé est un phare placé haut derrière notre présent pour éclairer notre avenir). Cette pensée est si vraie !

Je m’étonne parfois qu'une ministre ait décidé de changer le nom des vacances de Noël, pour les dénommer vacances d’hiver. Tout comme les vacances de Pâques, désormais les vacances de Printemps…

 Je tiens à conserver nos coutumes, c’est pourquoi, en cette fin d’année si  . . . bousculée !,

 je tiens à vous souhaiter, à vous tous, qui lisez ces lignes, ainsi qu’à vos proches . . .

 

                               UNE  BONNE  ET  HEUREUSE

                                                                                                              ANNÉE  2017.

23/12/2016

14/12/2016

Défendre l'emploi local

Le contexte économique national est pour le moins difficile. Il l'est encore plus à Saintes, avec le traumatisme du départ du Crédit Agricole, même si certaines entreprises locales ont le vent en poupe (Antares, etc.).


Aussi, il n'est pas acceptable que la SNCF rajoute à cette problématique.


Madame le Sous-Préfet de Saintes et Monsieur le Maire de Saintes ont organisé une table ronde, vendredi dernier, en présence des élus locaux, des responsables de la SNCF et des représentants du personnel. Lors de cette réunion, nous avons parfaitement compris les enjeux et évoqué différents axes de développement pour compenser la perte des emplois sur l'activité de la maintenance industrielle.


En outre, j'ai rencontré hier Guillaume PEPY dans le cadre de mes fonctions nationales au GART (Groupement des Autorités Responsables de Transport).


J'ai évoqué auprès du Président de la SNCF la suppression annoncée des 30 postes et les perspectives d'avenir du Technicentre de Saintes. Guillaume PEPY a parfaitement connaissance de ce dossier, en étant bien conscient de la baisse de charge concernant la maintenance lourde de voitures voyageurs qui représente une part très importante du Technicentre Charentes-Périgord, en raison des décisions récentes de renouvellement des matériels ferroviaires par l'Etat ou par les collectivités locales.

Guillaume PEPY m'a confirmé que des pistes sérieuses sont à l'étude pour développer à Saintes de nouvelles activités face à cette baisse de charge et pour en limiter l'impact sur l'emploi local. L'objectif est bien de viser la création de postes pour le pro rata de ce qui est supprimé.

(Un peu) rassuré par cet engagement, je suivrai de très près ce dossier dans les prochains mois, en restant vigilant sur la formulation de propositions concrètes et à l'écoute des personnels.

Je m'engage à faire de la défense des emplois locaux un axe primordial de mon mandat si je suis élu Député de la Saintonge en juin 2017.



05/12/2016

Plaidoyer pour les projets locaux

On ne parle jamais assez des projets locaux, pour vanter l'action des personnes qui s'investissent et qui réussissent. Je pourrais en citer beaucoup... Mais arrêtons-nous sur trois d'entre eux: un projet d'entreprise, un projet associatif et un projet communal.


Le projet d'entreprise tout d'abord : faire vivre une imprimerie et une maison d'éditions, quand on connaît la difficulté de ces métiers et dans un contexte économique difficile. C'est le défi que relève Corinne MONGET à Fontcouverte (Actiade, TAMI Editions). Rechercher l'innovation comme la collecte et le recyclage du papier, organiser des manifestations pour faire connaître les auteurs et les illustrateurs, etc., il faut se mobiliser au quotidien ! J'ai toujours plaisir à assister aux évènements organisés par TAMI Editions et à rencontrer les écrivains, on y sent la convivialité et la bonne humeur, un des gages pour avancer même quand le secteur d'activité est parfois morose face au développement d'Internet.



Ou encore ce projet de garage solidaire (Solid'Auto, 1 rue des Fougères à Saintes) lancé par l'association Saint Fiacre qui est reconnue pour ses chantiers d'insertion. Ce garage permet d'effectuer des réparations à des tarifs préférentiels pour les personnes les plus modestes et d'éviter de rouler avec des voitures dangereuses. C'est une vraie réussite, ce qui a même valu la visite du Président de notre région Nouvelle Aquitaine. Bravo aux porteurs de ce projet qui entre dans sa deuxième année, avec encore beaucoup d'idées en tête !




Enfin, les élus eux-mêmes se retrouvent parfois au cœur d'un projet de vie, comme ici à Taillebourg où tout le monde reconnaît le succès de l'implantation d'une petite zone d'activité en entrée de village, avec de commerces de services pour la population (boulangerie, mini-supérette, fleuriste, etc.). Une volonté profonde de réunir des financements, le choix d'une belle architecture pour les bâtiments, des commerçants mobilisés pour faire vivre la commune, je salue l'initiative du Maire et de tous ceux qui ont œuvré à cette belle réalisation.